•  Melun : témoin d’une grave agression, le couple doit fuir de chez lui.

    Sophie Bordier 
    INFO LE PARISIEN 
    Melun, novembre 2014. C’est dans la cave d’un de ces immeubles du square Couperin que le couple est tombé par hasard sur un violent règlement de comptes. Il a prévenu les secours pour aider le jeune homme tabassé à terre. Melun, novembre 2014. C’est dans la cave d’un de ces immeubles du square Couperin que le couple est tombé par hasard sur un violent règlement de comptes. Il a prévenu les secours pour aider le jeune homme tabassé à terre.(LP/Sophie Bordier.)

    « L’acte citoyen est nécessaire, mais il a parfois un prix ». Scandalisé, Jean-François Chalot, président du DAL 77 et membre actif de Familles laïques 77, vient de publier sur le blog de l’association l’histoire édifiante d’un couple de militants d’associations sociales et caritatives, lui ex-président du DAL 77, elle à la tête de Familles laïques à Melun (Seine-et-Marne).

    Mercredi soir, Olivier et Nathalie * ont définitivement quitté leur appartement situé square Couperin, dans le quartier Montaigu à Melun. Une seule raison à ce départ : assurer leur sécurité après leur intervention courageuse face à une violente agression sur laquelle ils sont « tombés par hasard » dans la cave de leur immeuble, fin décembre 2015.

    Un homme dénudé se faisait violemment frapper au sol. « Il ne portait qu’un tee-shirt jaune, et il ne bougeait plus, raconte Nathalie. Un gars m’a aperçu et il m’a dit : il est malade, il a trop bu. Mon mari qui arrivait derrière moi a vu l’homme au sol. Et là, le type nous a dit : cassez-vous, rentrez chez vous. Vous n’avez rien vu ! »

    « Ils auraient pu laisser faire et retourner tranquillement chez eux comme le demandaient les cogneurs, dérangés en pleine nuit par ces locataires ! Ayant peur pour la personne à terre, tabassée par plusieurs individus, ce couple a appelé au secours. Cette intervention a permis de sauver la victime », écrit Jean-François Chalot.

    Melun, janvier 2016. Jean-François Chalot salue le courage du couple, par ailleurs militant au DAL et à Familles laïques (LP/Sophie Bordier.)

    Sauf qu’après, le couple a subi divers actes d’intimidation : coups de poing la nuit sur la porte de leur appartement, remarques et ricanements à leur égard, coup de pression insidieuse sur le lieu de travail du mari lors d’une visite sans raison… « Tout indiquait qu’il y avait un risque sérieux pour eux. Les policiers eux-mêmes leur ont conseillé de partir loin de l’agglomération. Ce qu’ils ont fait, avec leurs trois enfants en bas âge, soupire Jean-François Chalot. Ce qui est rageant, c’est que ce couple passait de longues heures par semaine depuis deux ans à aider les familles, notamment celles menacées d’expulsion ».

    Il s’interroge : « pourquoi des témoins ne sont pas protégés ? » S’il existe une loi sur le témoignage anonyme (voir encadré), il n’est pas prévu en échange un changement d’identité et une réinstallation dans un autre lieu comme c’est le cas aux Etats-Unis depuis des dizaines d’années. A la PJ de Melun, chargée de l’enquête toujours en cours, on confirme que le couple a témoigné de façon anonyme. « Nous avons intercédé auprès de l’employeur du mari pour dire qu’il serait opportun qu’il puisse être muté ailleurs », indique un policier qui précise que les témoins anonymes sont rares…

    L’agression ayant eu lieu dans le cadre d’un règlement de comptes, la victime, sauvée du pire, grâce au couple n’a pas déposé plainte. « En tout cas, on ne pouvait pas le laisser mourir, confie Nathalie. Mais aujourd’hui, on ressent un grand sentiment d’injustice, la sensation d’avoir été chassé. Et les personnes qui ont fait cela continuent leur trafic de drogue. On voit régulièrement des 4 x 4 immatriculés en Russie tourner ici… Tant que les dealeurs continueront, la violence continuera. »

    Ce que dit la loi sur le témoignage anonyme

    Les témoignages anonymes sont prévus par le Code pénal.(LP/Guénaèle Calant.)

    L’article 706-58 du code de procédure pénale prévoit la procédure de témoignage anonyme quand l’audition d’une personne est susceptible de mettre gravement en danger la vie ou l’intégrité physique de cette personne ou de membres de sa familles ou de proches. La demande d’anonymisation du témoin est formulée par le juge d’instruction ou le procureur. C’est le juge des libertés et de la détention qui approuve ou non son bien-fondé. L’identité et l’adresse de la personne sont alors inscrites dans un autre procès-verbal versé dans un dossier distinct des documents de la procédure.

    *Les prénoms ont été modifiés

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  • LES 7 MARTYRS DE LA RÉSISTANCE CALAISIENNE (par « Calais Idéoscope »)


    Ci-dessous : compte-rendu de l’arrestation à Loon-Plage (Nord) ce lundi15 février à 00:30 des membres du groupe de Résistants CALAIS IDÉOSCOPE. L’interpellation s’est déroulée de façon très violente par la police locale aux ordres discrétionnaires du pouvoir central.
    Les 7 inculpés ont été condamnés à leur maintien en détention après avoir été entendus par le Juge d’Instruction, le Juge des Libertés et de la Détention entendu (correction par rapport au texte initial), condamnation qui ne peut excéder 4 mois d’emprisonnement, aucune ITT (Incapacité de Travail Temporaire) n’ayant été relevée sur les prétendues victimes ou présentées comme telles.
    Sur cette simple déclaration d’un migrant devant un groupe de Calaisiens : « J’ai eu peur ! » (tout simplement) nos 7 Patriotes ont été violemment frappés et embastillés.
    Pour la plupart, leurs avocats ont fait appel de cette décision inique qui sera réexaminée par la Cour de Douai le mercredi 24 février. Public non admis.(correction par rapport au texte initial)
    Nous vous tiendrons informés.


    Exemple (parmi tant d’autres) de l’ambiance qui règne aujourd’hui dans la région de Calais :

    Il y a une quinzaine de jours, 4 jeunes femmes se rendaient au cinéma « Le Varlin » avenue du Général de Gaulle à Grande Synthe (Nord). Trouvant leur sortie incongrue, une patrouille de police les a… “interpellées” également. Non, elles n’ont été ni frappées ni placées en GAV (Garde À Vue) quand même ! Mais les policiers ont estimé qu’elles n’avaient pas à sortir, tout simplement… Ça n’est pas tout ! Sommées de vider leurs sacs, les petites bombes lacrymogènes qu’elles avaient emportées eu égard au climat d’insécurité hallucinant qui règne dans la région, leur ont été confisquées !
    Il faut savoir que Grande Synthe était déjà surnommée « Alger » par les habitants du cru, bien avant qu’un nouveau camp de migrants n’y ait été installé… Je ne vous dirai pas pourquoi ! (Je voulais poser un smiley, mais je n’en n’ai pas le cœur.)

    LS
    luc.sommeyre@minurne.org


    Voir l’article publié par RT.

    Voir aussi avec beaucoup d’intérêt Les Moutons Enragés.


    Il existe deux motifs de poursuite :

    1. d’une part celui fondé sur l’article 222-13 du Code Pénal, à savoir :

    « Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende lorsqu’elles sont commises : »
    « […]
    « 8° — Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice ;
    « […] »

    Donc, les violences qui leurs sont reprochées n’auraient entraîné AUCUNE INCAPACITÉ mais auraient été commises « en réunion » (soit par plusieurs personnes).

    1. d’autre part, celui fondé sur l’article 222-14-2 du Code Pénal, à savoir :

    « Le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens est puni d’un an d’emprisonnement et de 15.000 € d’amende. »

    Ce dossier est ubuesque.

    → Les migrants, victimes prétendues de violences présentées par la presse comme « une odieuse et violente “ratonnade” » ne portent aucune trace de coup et, par la force des choses et de manière certaine, n’ont subi aucune incapacité.

    → En revanche, les supposés agresseurs présentent, eux, d’importants hématomes sur les jambes, le crâne, le visage, le nez et les yeux. L’un d’eux a un tympan probablement crevé et souffre de ce fait de surdité presque totale et d’acouphène. Deux autres présentent des fractures des côtes suite aux violents coups de pieds reçus alors qu’ils se trouvaient au sol.

    À mots couverts dans les couloirs du Palais certains policiers parlent d’un « DOSSIER POLITIQUE ».

    SI L’ON RÉSUME : un groupe de Calaisiens, natifs ou d’adoption, que la désinformation de la presse sur les camps migrants insupporte au plus haut point, décide de se rendre à Loon-Plage sur les itinéraires habituellement empruntés par les migrants pour prendre d’assaut les camions à destination de l’Angleterre, dans le but de « réinformer » l’opinion publique de ce qui se passe réellement. Sachant que les migrants ont coutume de se déplacer armés de couteaux et de barres de fer en toute impunité, conscients des risques encourus, certains se munissent d’une matraque ou d’un gourdin qu’ils rangent dans leurs voitures respectives.

    De ces « armes », ils n’en n’auront fait AUCUN USAGE vu qu’ils ne se sont pas sentis en danger ce soir-là ce qui prouve qu’à aucun moment ils n’ont usé de violence.

    Ne trouvant rien d’intéressant à Loon-Plage ce soir là, nos Calaisiens regagnent le parking où étaient stationnés leurs véhicules. Ils n’ont pas le temps de griller une cigarette avant de repartir chez eux, qu’ils se trouvent encerclés par certaines forces de police qui leur intiment l’ordre de se mettre au sol. Ce qu’ils font. Ils sont ensuite menottés.

    Une fois plaqués au sol et menottés, les Calaisiens furent roués de coups sous des insultes comme « FACHOS », « ENCULÉS », « NAZIS », etc., injures parfaitement hallucinantes − mais pourtant réelles − de la part de policiers…

    D’une part, la totale absence de coups sur les migrants (prétendument « victimes » !) prouve que le groupe des Calaisiens, qui n’avait pas l’intention de commettre de violences, n’en n’ont commis aucune,
    et
    D’autre part, les hématomes et blessures que présentent les Calaisiens prouvent a contrario qu’ils ont été frappés avec une violence extrême par les policiers locaux chargés de les arrêter…

    ACJe puis vous garantir l’absolue authenticité de ces photos. LS.

    Si ce dossier est en effet « politique », le message est le suivant :

    • « CALAISIENS, TAISEZ-VOUS ET SUBISSEZ EN SILENCE. »
    • « CALAISIENS, L’ÉTAT NE VEUT PAS ENTENDRE VOTRE SOUFFRANCE. »
    • « CALAISIENS, SI VOUS TENTEZ DE DÉNONCER LE CLIMAT DE TERREUR QUI S’EST INSTALLÉ DANS VOTRE VILLE, VOUS SEREZ CONDAMNÉS. »

    Calais Idéoscope


    La Voix du Nord, complice sans vergogne des voyous anti-Français, tout comme son confrère Nord-Littoral (encore plus infect) s’évertue à minimiser l’action des Patriotes de Calais, qu’ils considèrent − ainsi que tous les Patriotes de France − comme “d’infâmes fachos”, et publie à son habitude des informations aussi erronées qu’absurdes, prétendant que les “mis en examen” encourent 3 ans de prison et 45.000 € d’amende. Étant donné que lesprétendues victimes n’ont pu exhiber aucune  blessure même légère (et pour cause !) les 7 Calaisiens encourent non pas 3 ans comme le dit le journaleux, mais 4 mois de prison au terme du Code Pénal pour les raisons susdites. Si tant est que le Code Pénal soit encore respecté en France…
    Mais cette lourde peine de principe fait injure aux Libertés Publiques et Individuelles garanties par la Constitution.

     http://www.minurne.org/?p=6578


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  • DES ÉLEVEURS EN COLÈRE AUX DOMICILES DE LE DRIAN ET LE FOLL DANS L'OUEST DIMANCHE SOIR

    Des éleveurs en colère aux domiciles de Le Drian et Le Foll dans l'Ouest dimanche soir
    Stéphane Le Foll (d), ministre de l'Agriculture, discute avec des agriculteurs en colère venus manifester devant chez lui au Mans le 21 février 2016
    © JEAN-FRANCOIS MONIER

    PLUSIEURS DIZAINES D'ÉLEVEURS EN COLÈRE ONT MANIFESTÉ DIMANCHE SOIR DEVANT LE DOMICILE DU MINISTRE DE L'AGRICULTURE STÉPHANE LE FOLL AU MANS ET À...

    Plusieurs dizaines d'éleveurs en colère ont manifesté dimanche soir devant le domicile du ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll au Mans et à proximité de celui de son collègue de la Défense Jean-Yves Le Drian près de Lorient.

    Une trentaine d'agriculteurs se sont présentés vers 20H00 au domicile de M. Le Foll en périphérie du Mans, où le ministre a ouvert la porte de son jardin avant d'engager une conversation tendue pendant près d'une heure avec les manifestants, a constaté un photographe de l'AFP.

    "Comment je fais avec mes factures?", lançait un éleveur, pendant qu'un autre provoquait la colère du ministre en le comparant à son ancien collègue du Budget, Jérôme Cahuzac, poursuivi pour fraude fiscale.

    "Je fais ce que j'ai à faire, je fais mon travail", a répondu M. Le Foll, ancien député de la Sarthe, pendant ces longs échanges.

    Les éleveurs ont apposé une banderole sur la haie du ministre avec le slogan "Nous sommes comme nos vaches sur la paille", ainsi qu'un cercueil où était inscrit la mention "Morts pour la France".

    "Il a été très surpris de nous voir, piqué à vif", a témoigné pour l'AFP François Thomelin, producteur laitier à La Ferté-Bernard (Sarthe). "On avait accroché un pendu en paille, il a dit: 'Vous m'enlevez ça tout de suite".

    M. Thomelin, qui a précisé être venu "en partenariat" avec le syndicat des Jeunes agriculteurs (JA), a dit vouloir expliquer au ministre "le malaise agricole". "On n'a plus rien, plus de sous, plus d'avenir", a-t-il résumé. "Il a dit qu'il est pas responsable de grand chose, ce qui ne nous convient qu'à moitié", a rapporté l'éleveur.

    Par ailleurs, entre 60 et 80 agriculteurs en provenance du Finistère ont tenté d'approcher du domicile de M. Le Drian à Guidel, dans le Morbihan, mais ont été stoppés par les forces de l'ordre, a indiqué la préfecture.

    La préfecture n'était pas en mesure de préciser si M. Le Drian, également président du conseil régional de Bretagne, se trouvait ou non sur place.

    Les agriculteurs, venus à bord d'une vingtaine de tracteurs, ont pique-niqué dans le centre de Guidel, selon la même source.

     

    Source : http://www.publicsenat.fr/


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  •  Mazamet (81) : un élu FN défend un patron de kebab et accuse le maire de racisme (MàJ)


    « On veut me faire taire », c’est ce que pense Stéphane Gallois, le conseiller municipal d’opposition Front National de Mazamet. Il est poursuivi pour diffamation et injure publique par le maire de la commune pour un communiqué de presse daté du 9 novembre dernier.

    (…)
    Stéphane Gallois rappelle que le communiqué de presse au cœur de la polémique a été validé par le numéro 2 du FN, Louis Alliot.

    L’affaire devrait passer une première fois devant la justice début mars.

    Est-ce une nouvelle étape de la «dédiabolisation» du FN ? Dans la petite ville de Mazamet (Tarn), une virulente querelle oppose le maire UDI Olivier Fabre et l’élu «Bleu marine» Stéphane Gallois, rapporte la Dépêche. Objet de la dispute : le sort d’un ancien local commercial, dont l’édile veut faire un commissariat municipal.

    A priori, pas de quoi déplaire à un élu FN : le renforcement des polices municipales est une priorité de tous les maires frontistes élus en 2014. Mais Stéphane Gallois n’est pas d’accord. Client du kebab voisin, l’élu frontiste plaide plutôt pour que le local soit cédé à ce dernier, qui souhaite s’agrandir. Et va jusqu’à accuser le maire de «racisme» (s’attirant en retour une assignation en justice). Une parfaite inversion des rôles qui n’amusera peut-être pas la direction du parti d’extrême droite.

    Liberation

     

     


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  • LES HARKIS BÂILLONNÉS PAR L’ÉTAT ?

    Nouvelle colère des anciens harkis.
     
    Nouvelle colère des anciens harkis : l’État semble vouloir imposer des associations aux effectifs étonnamment pléthoriques pour évincer, des réunions au ministère, des associations plus petites mais, elles, 100 % harkies !

    Jeudi dernier, le 18 février, M. Todeschini, secrétaire d’État chargé des Anciens combattants, a présidé au ministère de la Défense une réunion du « G12 harki » – Groupe d’associations d’anciens harkis habilitées par le ministère – pour y étudier des solutions aux problèmes que vivent, depuis plus d’un demi-siècle, ces soldats français ayant risqué leur vie sous nos couleurs. Et lors de cette réunion, qu’ont appris les participants dont le nombre vérifié d’adhérents va de 45 – neuf ne dépassent pas la centaine de membres – à 320 ? Tout simplement que l’État avait décidé de faire des « propositions pour la constitution du G12 harki » en présentant cinq associations ayant « un poids relativement important permettant de les retenir » ! Et un poids non des moindres : la plus petite compte plus de 100 membres et les quatre autres – comme cela tombe curieusement bien – dépassent allègrement les 500 membres, et même une les 800 !

    Pour les actuels représentants des harkis habilités au « G12 », il est pour le moins étonnant que les associations choisies aient autant d’adhérents : à 25 € la cotisation, celle qui en déclare 800 aurait ainsi 20.000 € par an en caisse, versés par d’anciens harkis ou même des enfants ou amis de ceux-ci ! Ils estiment cela peu probable… Une autre association proposée par M. Todeschini, natif et élu d’Alsace-Lorraine, fait référence à 554 membres anciens combattants en… Alsace et en Allemagne !
    Or, sur les moteurs de recherche, si on associe le nom de cette association au mot « harkis », un seul document apparaît : une thèse de doctorat récente (3/12/2014, université de Strasbourg, Aurélie Bludszus, 489 pages) dans laquelle le nom de cette association n’est cité que dans la liste récapitulative en fin de document, mais pas pour ses actions en faveur des harkis. Le mot « harkis » n’est employé qu’au chapitre sur l’Amicale des pieds-noirs de Moselle, l’Association nationale des Français d’Afrique du Nord, d’outre-mer et leurs amis, le Front national des rapatriés et le Cercle algérianiste… Mais pas avec l’association aux 554 membres proposée par le secrétaire d’État.

    Quand un collectif de harkis regroupant, donc, plusieurs associations des Alpes-Maritimes qui ont largement accueilli les harkis ne fait état « que » de 320 adhérents, une association de l’Est de la France en annoncerait, elle, plus de 550…

    Si les associations proposées par l’État entraient dans le G12, soit des associations de harkis – et uniquement de harkis – telles celles de l’Aveyron ou de l’Aude passeraient à la trappe, soit le G12 deviendrait G17 et, dans ce cas, les voix des « petites » associations pèseraient moins face à des « mastodontes » mais ne réunissant que peu de harkis…

    Source : http://www.bvoltaire.fr/


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