Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par l’envahisseur africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.
C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion.
C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement.
Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.
Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée pour sa routine normale, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et les soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendue dans son appartement.
Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit.
Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux.
Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.
Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort.
Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.
Bien qu’il ait fuit, la police a été capable de le tracer via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.
La police autrichienne a d’abord parlé d’un « jeu sexuel qui aurait mal tourné »…
En vérité, c’est surtout l’application du bisounoursisme anti-raciste qui a mal tournée