• Fraude sociale des étrangers : le témoignage choc d’un médecin…

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    Le tourisme social fait rage en France. Depuis que les socialistes ont pris le pouvoir, le laxisme en matière de CMU, d’AME prend racine en France.

    Un médecin a témoigné de ce scandale au micro d’Eric Brunet sur RMC. Sa remarque, au micro de RMC, au terme de l’interview, fut édifiante :

    « Les bras m’en tombent sur la moquette du studio de RMC ! »

    Avant de vous livrer l’enregistrement audio de cet interview, voici un court résumé des pratiques frauduleuses qui y sont dénoncées :

    • On a des patients qui viennent avec des cartes vitale et transfèrent des médicaments à l’étranger,
    • Des patients utilisent la carte vitale pour toute leur famille,
    • Des « passeurs » amènent des patients du monde entier, des handicapés, comme dans le centre de la France et à Saint-Etienne, des enfants poly-handicapés sous statut d’AME (Aide Médicale d’Etat) qui vont bénéficier de tous les soins, puis qui passent sous CMU, puis par la suite en adultes handicapés,
    • On voit arriver des insuffisants reinaux, de l’Est, qui passent en dialyse puis qui sont prioritaires en greffe de rein. Je rappelle qu’une greffe de rein, c’est 80 000 euros !
    • On voit arriver par Roissy des patients venant du Sénégal et d’ailleurs, en cancers en phase terminale qui viennent bénéficier de chimiothérapie gratuite à l’hôpital Saint-Louis.
    • On voit des réseaux qui se mettent en place, dans le monde entier, pour rapporter en France des malades, et les faire soigner.
    • J’ai vu récemment des patients chinois qui bénéficiaient de la CMU par rapprochement familial et qui repartent en Chine une fois l’opération de leur prostate réalisée.
    • Les patients restent souvent en France. Certains restent chez eux, mais certains vont bénéficier du statut d’adulte handicapé ou d’invalidité dans notre pays. Quand un enfant arrive en insuffisance reinale, il passe immédiatement en dialyse (70 000 euros par an), puis il va passer en greffe, et en greffe reinale, il est prioritaire, d’abord parce qu’il est mineur, ensuite parce qu’il est étranger ! Ensuite, il ne repartira pas dans son pays puisque les traitements immuno-suppresseurs n’existent pas dans son pays. Il va donc rester sous statut de CMU. Comme il ne pourra jamais travailler parce qu’il est dialysé, greffé ou parce qu’il ne parle pas la langue, il sera ensuite adulte handicapé.
    • Il est temps que la France mette en place des mécanismes d’enquête et de contrôle pour que les fraudeurs nationaux et internationaux soient sanctionnés et tracés. Pas de problème pour soigner un patient étranger mais son pays doit nous rembourser.
    • Les patients maghrébins au CHU de Marseille représentent entre 100 et 150 millions d’euros par an !
    • Il y a en France environ 500 000 étrangers qui bénéficient de l’AME.
    • On arrive en tout à 1,7 milliard d’euros pour soigner les étrangers en immigration irrégulière…

    Pour écouter l’enregistrement intégral de l’interview, c’est ici : http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/fraude-sociale-le-temoignage-choc-dun-medecin/

    Les socialistes sont totalement irresponsables dans le domaine de la fraude aux prestations sociales.

    La première chose qu’ait fait le gouvernement Ayrault fut de supprimer toutes les modestes mesures qu’avait mis en place François Fillon pour limiter les abus de l’AME.

    Et que dire de toutes ces associations qui soutiennent les sans-papiers … Elles n’ont même pas l’excuse de la générosité puisqu’elles laissent à nos enfants et petits enfants le soin de régler la note de toute cette gabegie !


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  •  Téléthon : La directrice s’achète une maison et des rémunérations à 100 000 euros (avec vos dons)

     

    Le pédophile Pierre Bergé a déclaré ce samedi que l’Association Française contre les Myopathies réalise des achats immobiliers avec les dons du Téléthon.

    Que lit-on dans le rapport de la Cour des comptes sur l’AFM (qui date de 2004) ?

    Des choses étonnantes.

    Notamment à la page 79 du rapport.

    maisonbillet

    L’achat d’une maison dans l’Essonne pour la directrice générale de l’association.

    Or, note la Cour des Comptes: « bien que l’AFM ait exposé chaque année dans son rapport annuel la composition de l’ensemble de son patrimoine immobilier, cette maison n’y a jamais figuré. Les donateurs n’ont donc pas eu connaissance de son achat, de son utilisation ou de son coût. »

    D’autres pratiques de gestion de l’association sont également critiquables: la Cour évoque des rémunérations supérieures à 100 000 euros bruts (page 8.).

    Et sans parler de ce paragraphe étonnant (page 81): « De même, à l’occasion d’une mission à Papetee, un cadre de l’association est allé passer un samedi et un dimanche à Bora-Bora : le coût du trajet en avion entre Papetee et Bora-Bora ainsi que celui de l’hébergement et de la restauration ont été imputés en missions sociales dans le compte d’emploi. »

    Note de la rédaction du Post: l’association a reçu le prix « Cristal de la transparence en 1998 rappelle Bakchich, qui a effectué un comparatif entre l’AFM et le Sidaction.

    Sur RMC, Marc Reidiboym, auteur d’un livre sur les comptes des associations Donateurs si vous saviez, explique: « l’AFM a des pratiques critiquables… comme la plupart des associations. Certains investissements immobiliers se sont avérés hasardeux (l’achat d’un centre de conférence sous-utilisé sans l’Essonne). La facture de France Télévisions pour le coût de la réalisation de l’émission augmente chaque année. Il y a de la transparence, mais il n’y en a pas assez ».
    (Sources: Bakchich, RMC, Cour des Comptes)

    Le total des indemnités versées (indemnités conventionnelles et transactionnelles) a été de 192 655 euros et 191 728 euros pour deux autres cadres de direction partis respectivement après quatorze et quinze années passées à l’AFM.D – Les avantages en nature Un certain nombre d’avantages ont été consentis par l’AFM à plusieurs salariés35.1 – Logement de fonction Après la nomination de sa directrice générale en 1991, l’AFM a acquis une maison dans l’Essonne pour 0,256 M »36″ ; bien que la directrice générale ait quitté l’AFM en 1998, elle a occupé cette maison jusqu’au milieu de l’année 1999″37″. Si l’achat de la maison a été, comme le prévoient les statuts de l’association, approuvé par l’assemblée générale, le procès-verbal de celle-ci ne fait pas apparaître que la destination de la maison avait été portée à la connaissance des adhérents.

    L’AFM a invoqué pour justifier l’achat de ce bien immobilier la nécessité de loger son directeur général dans l’Essonne. Cependant, aucun autre directeur général de l’AFM n’a résidé ou ne réside dans l’Essonne ni n’a bénéficié d’un logement de fonction. Or les associations reconnues d’utilité publique « ne peuvent posséder ou acquérir d’autres immeubles que ceux nécessaires au but qu’elles se proposent », selon l’article 11modifié de la loi du 1er juillet 1901.Bien que l’AFM ait exposé chaque année dans son rapport annuel la composition de l’ensemble de son patrimoine immobilier, cette maison n’y a jamais figuré. Les donateurs n’ont donc pas eu connaissance de son achat, de son utilisation ou de son coût.

    35) L’association n’a pas toujours communiqué à ce sujet au cours de l’instruction des informations cohérentes avec les documents comptables. Dans plusieurs cas, une première réponse présentait les pratiques de l’AFM sous un jour plus modeste et plus conforme aux dispositions législatives et réglementaires que dans la réalité.

    36) Cette maison comprend cinq chambres et un jardin de 1000 m².

    37) Elle a ensuite été louée par l’AFM à une société, puis revendue en 2003 avec unemoins value de 30 490 euros.

    Source : librexpression


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  •  VIDÉO. 

    VIDÉO. Témoignage : comment Natacha Bouchart « s'acharne et se venge »

     
     
    Sarah Guerlach raconte comment la mairie de Calais a décidé de faire partir sa mère chez elle.
     
    Témoignage. Nadine Guerlach habite à quelques mètres de la jungle de Calais où vivent plusieurs milliers de migrants.
    Après s’être plainte plusieurs fois de sa situation insupportable, la mairie réagit par une mise ne demeure et lui demande de quitter son domicile qu'elle habite depuis 45 ans.
    Sa fille Sarah Guerlach témoigne.

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  •  Roncq "Nord de la France" enchaînée pendant trois semaines car «déshonorée»

     PAR: LAKHDAR BELAÏD

    
Le père écope de deux ans de prison, dont 18 mois avec sursis et incarcération immédiate. PHOTO ARCHIVES «
LA VOIX
».
     
    La police a mis fin, lundi, au calvaire d’une jeune femme de 22 ans. Depuis trois semaines, elle vivait enchaînée dans un caravane à Roncq.
    Son tort : avoir perdu sa virginité.
    L’étape suivante : le passage devant un « tribunal des gitan

     Il a 41 ans, le regard hagard et n’a jamais eu affaire à la justice auparavant.
    Les magistrats, eux, veulent tout simplement comprendre.
    « J’ai perdu un peu de respect, marmonne ce père de famille. J’ai eu honte. »
    En face, la procureure Clémentine Chatein ne décolère pas.
    « Il lui a coupé les cheveux », rappelle la représentante du parquet.
    La victime, elle, répète les mêmes mots : « Chez nous, on n’a pas le droit d’appeler la police, soupire M.C’est le tribunal des gitans qui décide. »
    La jeune femme ne parle pas le français, mais l’une des langues les plus mystérieuse d’Europe, le gitani.
    Son père n’est jamais allé à l’école.
    L’affaire, elle, s’est déroulée à Roncq, sur un parking de centre commercial, au coeur de l’une des zones les plus urbanisées du monde.
    En octobre, M. fugue avec un autre jeune homme de la communauté des gens du voyage.
    Lui vit dans un camp en Belgique.
    Sa famille ne trouve pas grâce aux yeux du père de sa conquête.
    Au retour de celle-ci, le patriarche la fait escorter chez un médecin par des femmes du clan.
    La virginité de M. n’existe plus.
    La jeune femme est immédiatement séquestrée dans une caravane, une chaîne à la jambe.
    Les membres de sa famille, notamment sa soeur, se relaient à ses côtés pour assurer sa toilette et sa subsistance.
    Quelques gifles volent.
    Jusqu’à quand ?
    La convocation d’un « tribunal des gitans ».
    « Et il devait faire quoi ? », interroge le président Bernard Lemaire.
    « Réunir les deux familles, décider d’un possible mariage, acheter une caravane », sanglote presque le père.
    En clair, réparer l’outrage.
    « On est dans le droit coutumier, plaide son avocat Stéphane Bulteau, de sa voix bourrue. Il y a quelques générations, dans notre société, c’était pareil. »

    En novembre 2015, appelée en désespoir de cause par la mère et la tante de M., c’est la police qui doit exfiltrer la séquestrée avant de battre rapidement en retraite avec la rescapée face à un camp de plus en plus en en effervescence.

    Sanction : deux ans de prison, dont 18 mois avec sursis et incarcération immédiate.
    Source :  La Voix du Nord
     

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  • Serge Ayoub  


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