•  COMMUNIQUE  

    Militant n° 669

    Le Militant n° 669 de mars 2015 est paru.

    Spécial Russie

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    MILITANT

    B.P. 154

    75463 PARIS Cedex 10


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  • LE COMMUNIQUÉ DE L' INSTITUT POUR LA JUSTICE !! 
    Savez-vous quel est le point commun entre les terroristes Chérif Kouachi (12 victimes), Amedy Coulibaly (6 victimes), Mehdi Nemmouche (4 victimes) et Mohamed Merah (6 victimes) ?

    Ne comptez pas sur le gouvernement ou les médias pour vous le révéler - et encore moins la ministre de la Justice Christiane Taubira. 

    Car ce qui relie le parcours de ces terroristes n'est pas seulement le radicalisme islamique.

    Tous les 4 sont des criminels multirécidivistes qui ont bénéficié pendant toute leur vie du laxisme et des failles béantes de notre justice pénale. 

    Tous les 4 auraient dû être en prison au moment de leurs attentats. 

    Vous avez bien lu (et je vais vous le prouver dans un instant) : si notre système pénal fonctionnait normalement, toutes les victimes de ces terroristes seraient encore en vie aujourd'hui : la policière municipale, les victimes de Charlie Hebdo, de l'Hyper Cacher, du Musée juif de Bruxelles, les militaires du régiment de Montauban et les enfants de l'école juive de Toulouse. 

    Coulibaly, condamné à 5 ans de prison en 2013

    Prenez le parcours criminel d'Amedy Coulibaly. Voici ce qu'en dit le journal Libération :

    « Le casier d’Amedy Coulibaly témoigne d’un lourd passé de braqueur alors qu’il n’avait même pas 18 ans. En 2001, il avait été condamné à trois ans ferme, dont deux avec sursis, par le tribunal d’Evry puis, la même année, à quatre ans dont deux avec sursis toujours pour des «vols aggravés». En 2002 encore, douze mois dont neuf avec sursis pour vol aggravé et recel. En 2004, le voilà renvoyé devant la cour d’assises des mineurs du Loiret, qui lui inflige six ans de prison pour un vol à main armée dans une agence BNP avec deux complices. En 2005, le tribunal correctionnel de Paris condamne Coulibaly à trois ans d’emprisonnement pour «vol aggravé, recel et usage de fausses plaques d’immatriculation». En mai 2007, il prend dix-huit mois pour trafic de stupéfiants. » 

    Ce que le journaliste oublie de préciser, c’est qu’un seul vol à main armée, dans notre code pénal, est un crime puni théoriquement de 20 ans de réclusion criminel. Mais Coulibaly, malgré ses multiples braquages, s'en est sorti avec quelques années de détention au total. 

    Plus grave encore : le 20 décembre 2013, il a encore été condamné à 5 ans de prison. 

    Mais il a bénéficié des remises de peine accordées depuis des années à tous les détenus, y compris les plus dangereux. Certes, il a fait de la détention provisoire. Mais s'il avait purgé la totalité de cette peine, la jeune policière et les victimes juives de l'Hyper Cacher seraient encore en vie. 

    Et saviez-vous que, pour Christiane Taubira, ces remises de peine sont encore insuffisamment généreuses ? 

    Pour elle, il était injuste que les récidivistes bénéficient de remises de peine réduites par rapport aux primo-délinquants. Dans sa toute récente réforme pénale, entrée en vigueur au 1er janvier 2015, elle a donc décidé que les récidivistes pourraient désormais avoir des remises de peine plus longues ! 

    Kouachi, parti au Yémen malgré son "contrôle judiciaire"

    Cherif Kouachi a aussi un sérieux casier judiciaire de délinquant. Déjà bien connu de la police et de la Justice pour de nombreux délits, il a été condamné à 3 ans de prison en 2008 pour djihadisme dont 18 mois avec sursis.

    Mais dans son cas, la faillite de la justice est encore plus hallucinante. 

    En 2010, il est à nouveau arrêté et placé en détention provisoire pour avoir préparé l'évasion d'un terroriste notoire. 

    La justice décide de le libérer, en attendant son procès, mais elle lui impose un « contrôle judiciaire » jusqu'en avril 2013 : interdiction de quitter la région et obligation de pointer toutes les semaines au commissariat de Gennevilliers. 

    Sauf que quelques mois plus tard, Cherif Kouachi part au Yemen s'entraîner dans un camp d'Al-Quaïda, dans la plus parfaite impunité. Ni la police, ni la justice ne viendront l'inquiéter (et encore moins le sanctionner) pour cela. 

    Une faille, une bavure ? Non, c’est le fonctionnement habituel de notre système. 

    Un juge interrogé par Le Figaro révèle ce que savent tous les spécialistes : « les pointages au commissariat dans le cadre de contrôle judiciaire ne font jamais l'objet de contrôles stricts. Au mieux, ce n'est qu'au bout de la quatrième ou cinquième absence que le commissariat prévient le tribunal…». Et quand la Justice est prévenue il est rare qu'elle réagisse, « et « il est encore plus rare que le non-respect des obligations débouche sur une incarcération ».

    Bref, c'est l'impunité la plus totale pour nos criminels, y compris les plus inquiétants. Et ils le savent pertinemment. Tout récemment, devant la cour d'Assises du Nord, l'auteur du meurtre d'un commerçant était interrogé par le juge : « pourquoi n'avez-vous pas respecté les obligations de votre contrôle judiciaire ? ». « Cela ne m'intéressait pas », avait-il répondu.

    N’est-il pas temps de faire en sorte que les criminels dans notre pays soient « intéressés » aux conséquences de leurs actes ?

    Car l'impunité de Kouachi ne s'arrête pas là. En 2010, les juges ont établi qu'il possédait des images pédopornographiques sur son ordinateur. Croyez-vous que la justice a réagi avec fermeté, vu le profil de ce multirécidiviste aux inquiétantes connections djihadistes ? 

    Non, c’est tout le contraire : elle a tout simplement « classé l'affaire », comme elle le fera à de nombreuses reprises vis à vis des crimes de Mohamed Merah (voir plus loin). 

    Nemmouche, braqueur multirécidiviste 

    Medhi Nemmouche, celui qui a tué 4 personnes au musée juif de Bruxelles, a exactement le même profil que Coulibaly. A seulement 14 ans, il est déjà arrêté pour cambriolage. S'ensuit une longue série de délits en tous genre : recels, vols avec violence, dégradations de bien. A 17 ans, il agresse au couteau une enseignante. Tout cela dans la plus grande impunité, puisqu'il faudra attendre qu’il commette de multiples braquages pour que la justice l'envoie enfin en prison. 

    Au total, il sera incarcéré à 5 reprises à partir de 2004. A chaque fois, pour des durées dérisoires, sachant qu'un seul braquage est théoriquement puni jusqu’à 20 ans de prison. Et à chaque fois, la justice le relâchera bien avant la fin de sa peine.

    Lui aussi aurait dû être en détention (et pour de longues années encore !) le 24 mai 2014, date de la tuerie de Bruxelles.

    Mohamed Merah, libre à 23 ans malgré 18 condamnations 

    Le parcours de Mohamed Merah est le plus spectaculaire de tous. Sans doute parce qu’on dispose de tous les détails, plusieurs livres étant paru sur son compte. 

    Saviez-vous que, moins d'un mois avant ses 6 meurtres, il avait été condamné à un mois de prison ferme ? Et que la Justice l'avait immédiatement remis en liberté, malgré ses 18 condamnations au casier judiciaire ?

    Pour vous donner une idée de l'impunité dont il a joui tout au long de son parcours criminel il faut lire sa fiche Wikipédia : 

    « En 2002, il frappe au visage une assistante sociale. Le tribunal pour enfants le condamne pour violences volontaires. Ses éducateurs se plaignent de lui « Il injurie, insulte les filles, […] qui nous demandent de les protéger et de fermer leur chambre à clé. Chaque jour, nous devons intervenir pour une dégradation, un vol, un conflit, une agression dont Mohammed est l'auteur ». Dans une lettre à un juge datée de 2003, la mère de Mohammed Merah déplore à son tour d'avoir été agressée physiquement par l'adolescent « La violence de mon fils est telle que je me trouve dans l'incapacité d'y faire face ». En février 2004, il est arrêté pour avoir jeté des pierres sur un autobus, il s'en tire avec une simple admonestation. En janvier 2005, il tient tête à l'une des éducatrices du foyer Mercadier et la frappe à l'œil avant de fuguer. Il est condamné à cinq mois de prison avec sursis pour coups et blessures volontaires. Il faudra une convocation assortie d'une menace de révocation de sursis envoyée chez sa sœur Souad pour qu'il reprenne contact avec la Justice des mineurs. En 2005, il est arrêté au volant d'une moto Honda volée. En 2006, il est poursuivi pour un vol de portable avec violence, de moto, et des insultes. Il agresse à coups d'extincteur son oncle qui lui demandait d'arrêter un rodéo bruyant en quad, dans la cité des Izard. Durant sa minorité, il est condamné à quatorze reprises par le tribunal pour enfants pour diverses affaires de dégradations, de manquements à l'autorité ou de vols.

    En 2007, il se rend avec un pistolet chez son frère Abdelkader et la compagne de ce dernier. Il tire dans l’écran plat posé sur le meuble télé et saccage leur appartement, jetant les objets par la fenêtre du 4e étage. Il quitte les lieux en menaçant « Si tu lèves encore une fois la main sur moi, je t'en loge une ». En décembre 2007, il arrache le sac d'une personne âgée dans le hall d'une banque. Pour ce vol avec violence, Mohammed Merah devenu majeur, est condamné à 18 mois de prison ferme selon la procédure de comparution immédiate (première incarcération !). 

    En décembre 2008, il refuse d'obtempérer à un contrôle policier forcé et est réincarcéré à la maison d'arrêt de Seysses jusqu'en septembre 2009. Début juillet 2010, il vient consulter un avocat pour entamer une procédure aux prud'hommes en raison d'heures de travail non payées, chez son carrossier. Un an plus tard, il insulte et menace une employée de la concession Renault qui lui aurait donné par téléphone une indication erronée : « Toi, si je te retrouve dehors, tu es morte ». En février 2012, il est jugé une nouvelle fois pour conduite en 2009 d'une moto sans permis, ainsi que pour blessures involontaires, puis condamné à un mois de prison ferme, mais laissé libre. »

    Et encore, il manque dans ce récit tous les faits pour lesquels il n'a pas été poursuivi ! 

    Une mère de famille a révélé dans la presse ce que M. Merah avait fait subir à sa famille deux ans avant ses meurtres : « Il a conduit mon fils à son domicile. (…) Puis il lui a imposé de regarder des vidéos d'Al Qaïda (des scènes insoutenables dans lesquelles des femmes sont exécutées d’une balle dans la tête et des hommes égorgés). Mon fils m'a appelé. On a finalement pu le récupérer. Il est resté enfermé là bas de 17h à minuit... ». La mère a alors déposé plainte, ce qui a provoqué la colère de M. Merah : « Il est venu devant chez nous. Il m'a menacée et frappée. (…) Il disait aussi que lui et ses amis viendraient prendre mon fils et qu'il ne me resterait plus que mes yeux pour pleurer ». Le surlendemain, il s’en est effectivement pris à son fils : « Il l'a frappé, et ma fille est intervenue. Il l'a rouée de coups. Il y avait beaucoup de monde, mais personne n'a bougé ». La femme précise qu’elle a « tout gardé » : « la robe de sa fille tâchée de sang et déchirée, le dépôt de plainte, les courriers de relance, des photos et les certificats médicaux... ». L’avocat de cette mère de famille, Me Mouton, confirme qu’une « plainte très circonstanciée » a été déposée le 25 juin 2010. La mère de famille a relancé les autorités à de nombreuses reprises. Sans aucune suite. « Pourquoi, malgré tous mes signalements, Mohamed Merah n'a-t-il pas été arrêté ? Nous l'avons encore vu la semaine dernière. Il nous narguait. J'ai tout raconté à de nombreuses reprises à la police et à la préfecture. (…) C'est incompréhensible et révoltant. »

    Tout ceci alors que Mohamed Merah était déjà ultra-connu de la police et de la justice !!!

    Maintenant, la question que nous devons nous poser est la suivante :

    Croyez-vous que le gouvernement va tirer les leçons de ces affaires ? Croyez-vous qu'il va, de lui-même, sans pression populaire, prendre les mesures qui s'imposent ?

    A la fin de l’année dernière, Christiane Taubira annonçait vouloir réformer la Justice des mineurs, qu’elle jugeait trop ferme et insuffisamment compréhensive vis-à-vis des délinquants… 

    Le 9 janvier dernier, le jour même de l'attaque de l'Hyper Cacher, Christiane Taubira adressait un document de 2 pages aux 40 Procureurs généraux. Elle leur donnait la ferme instruction d'appliquer immédiatement sa nouvelle réforme consistant à augmenter la durée les remises de peine des récidivistes.

    Vendredi 16 janvier dernier, Christiane Taubira a diffusé un communiqué de presse. Pour répondre à la situation actuelle, elle déclare que l'urgence est de durcir l'arsenal répressif contre… le racisme et l'homophobie !

    Ne pensez-vous pas qu'il est temps pour nous, citoyens de France, de nous lever en masse pour réclamer une Justice pénale qui nous protège des vrais criminels ?

    N'est-il pas temps d'adresser un signal clair au gouvernement sur les priorités que NOUS souhaitons qu'ils appliquent ? 

    Ne croyez-vous pas qu'il est temps de mettre un coup d'arrêt au laxisme incroyable qui met en danger la vie de nos enfants et nos petits-enfants ?

    Si oui, alors je vous demande solennellement de participer en urgence à notre grand référendum national en vous rendant ici. 

    Je vous demande également de transmettre immédiatement ce message à tous vos contacts pour qu’ils participent eux aussi à cette grande mobilisation.

    Nous ne pouvons pas attendre les prochaines élections, les bras croisés, en espérant qu'un nouveau gouvernement prenne les mesures qu'il faut prendre AUJOURD'HUI. 

    Nous ne pouvons pas observer sans rien faire que notre ministre de la Justice facilite, décision après décision, le travail des criminels et des terroristes. 

    Il faut agir MAINTENANT. 

    Alors vraiment, merci de prendre quelques minutes pour participer à notre grand référendum pour la Justice.

    Je compte sur vous,

    Laurence Havel
    Secrétaire nationale. 

    "contact@e.institutpourlajustice.org


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  • Le jambon : en Tunisie c'est oui, à Nice c'est non !!

    Agressé par des musulmans, Loïc Neffati, le boulanger de Nice, témoigne dans Minute. Extrait :

    M"Je me suis installé dans le quartier en janvier 2014. Peu après, un barbu est venu me donner des « conseils ». Il m’a recommandé de ne plus vendre de sandwiches au jambon et de gâteaux alcoolisés. J’ai répondu que ma première préoccupation, c’était de gagner ma vie ! Ensuite, c’est devenu plus chaud. Des femmes voilées sont venues me narguer. Un musulman est entré dans la boutique pour faire le scandale. Sur ma porte, on a collé des autocollants d’associations homosexuelles pour faire croire que j’étais gay. Puis on a cassé ma vitrine. Enfin, en octobre, les gars du snack de la Nosra ont débarqué violemment pour me faire comprendre que j’étais un mauvais musulman. J’ai alors décidé de porter plainte.

    En janvier, les gars de la Nosra ont été condamnés. Depuis, avez-vous retrouvé la tranquillité ?

    Mes agresseurs me laissent tranquille. Ils n’ont pas le choix : il y a un jugement, ils n’ont pas le droit d’entrer en contact avec moi sinon ils vont en prison. Mais l’affaire a eu des répercussions sur mon commerce. Pour 80 à 90 % de la communauté arabe du quartier, c’est moi le fautif ! Tout ça pour des tranches de jambon ! Quand je travaillais en Tunisie dans un hôtel touristique, on préparait tous les jours des kilos de côtelettes de porc. Et aujourd’hui que je suis en France, des barbus veulent m’interdire de vendre des sandwiches au jambon ! Ils me reprochent aussi d’avoir pris la nationalité française et d’avoir choisi le prénom Loïc. Ils prennent ça pour une trahison. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/04/le-jambon-en-tunisie-cest-oui-%C3%A0-nice-cest-non.html


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    Thierry Ardisson s’en va–t-en guerre contre les kebabs de son quartier.. 

    «Si on ne fait rien, ce sera kebabs et tours Eiffel de la place de la Concorde jusqu’au Louvre.»

    Thierry Ardisson ne décolère pas. Dans une interview accordée au Parisien, l’animateur de Salut les Terriens sur Canal + se dit «effondré» par la tournure que prend son quartier, entre le Palais-Royal et la Concorde, a créé fin 2014 l’Association de défense des arcades Rivoli (Adar) qui entend «Redonner leur lustre aux arcades au nom du respect de l’architecture du XIXe siècle.» Comme le rapportent nos confrères du Parisien, Thierry Ardisson, soucieux de placer les bailleurs devant leurs responsabilités, a retrouvé un décret du 23 décembre 1852 interdisant notamment l’installation rue de Rivoli d’artisans «dont l’état nécessite l’usage d’un four». Rejoint dans son combat par d’autres personnalités (Antoine de Caunes et Daphné Roulier, ou Marc Lavoine et son épouse, Sarah), l’ancien animateur de Tout le monde en parle est par ailleurs résolu à attaquer en justice tous les propriétaires n’assumant pas leurs obligations (l’entretien de ces arcades, ouvertes aux piétons mais considérées commeparties privatives des immeubles, incombe aux copropriétaires, ndlr). Il y a un mois déjà dans une interview à Paris Match, Thierry Ardisson avait déjà expliqué la genèse de son engagement. «Parce que je suis écœuré que ces arcades, si belles et si prestigieuses, soient maltraitées ainsi, avait-il confié à l’hebdomadaire. C'est un scandale! Les petits commerces et les fast-foods les défigurent et les propriétaires des immeubles n'entretiennent pas les trottoirs, ce qui est pourtant de leur responsabilité. Depuis peu, des kebabs commencent à s'installer. Il faut dire les choses : j'adore Barbès, mais Barbès, c'est Barbès et Rivoli, c'est Rivoli. (…)Avant, ces arcades étaient destinées aux petits marchands d'art, aux antiquaires et aux souvenirs de qualité. C'est dans cet esprit que nous voulons les faire revivre aujourd'hui. L'idée n'est pas d'avoir une boutique Chanel tous les quinze mètres. Rendez-vous compte qu'il existe exactement les mêmes arcades à Corfou en Grèce et que malgré la crise, elles sont mille fois mieux entretenues que les nôtres. C'est quand même dingue!» Pas de doute l’homme en noir voit rouge!

    © Fournis par Gala


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