• MINURNE – INFO 739 – LA CENSURE DES CENSEURS

    (Gauthier Le Bret et Olivier Patio)

    LA CENSURE DES CENSEURS

    Pour visionner la vidéo, CLIQUEZ ICI

    Jean Luc Mélenchon dénonce la “République bananière” et hurle à la censure après une interdiction de son meeting par le Préfet du Nord, interdiction qui intervient dans le prolongement de l’annulation de ce même meeting par le Président de l’Université de Lille.

    Je précise que je m’oppose toujours à la censure et que je suis partisan de la liberté d’opinion et d’expression.

    C’est hélas une évidence : nous sommes de moins en moins libres et de plus en plus en situation d’insécurité réelle.

    J’observe cependant que Mélenchon a toujours son rêve de gloire en haut des marches de l’Elysée. Il entend bien instaurer un jour une République islamique en France. Il compte d’ailleurs sur un nombre d’électeurs insoumis toujours plus favorable grâce à l’immigration.

    Mais il n’y a hélas plus aucun signe d’espérance démocratique dans sa rhétorique politique, ni aucune positivité dans ses nombreux coups de menton. Son dernier visuel est trompeur. Ses mots sont en réalité d’une grande violence et agressifs.

    Bien au contraire. L’ardent désir de celui qui déteste Israël et le peuple juif, désormais, est que la France se déchire et qu’elle brûle. Lisez-le. Entendez-le. Il souhaite une fracturation de la France entre deux peuples. Il espère même un malheur collectif. Il veut sa révolution et saboter le pays.

    A-t-il seulement compris que, s’il venait à avoir par malheur un jour sa majorité, puis le pouvoir, il se fera politiquement et immédiatement dévorer par ceux qui auront voté pour lui ?

    L’immigration massive et incontrôlée ainsi que Mélenchon ont fait de la France une poudrière. Il suffit de suivre un peu l’actualité pour se rendre compte de l’état d’inflammabilité du pays.
    J’ai reçu une France heureuse dans mes bras lorsque je suis né dans les années 60. Je vais devoir laisser une poudrière à mes enfants.
    C’est un drame historique. La coercition politique et la violence sont partout.

    Le 9 juin, mobilisons-nous. Votons massivement contre ce révolutionnaire

    Olivier Patio


    votre commentaire
  • 22 avril 1988 : 4 gendarmes assassinés par les terroristes kanaks et 22 pris en otages

    Le 24 septembre 1852, le contre-amiral français Febvrier-Despointes servant la France de Napoléon III proclame la Nouvelle-Calédonie colonie française. Même si l’île servit de bagne après la Commune de paris, pendant plus de 167 ans, la France mis en valeur ce territoire riche en ressources minérales. De nombreuses populations européennes vinrent s’y implanter et travailler pour y pratiquer l’agriculture et faire prospérer une  intense activité minière et métallurgique face aux envieux regards asiatiques et anglo-saxons.

    Les années 70, vers l’insurrection

    Bien après les révoltes de 1878 et 1917, les velléités indépendantistes se renforcent après 1975, année au cours de laquelle le premier parti indépendantiste est créé. Après 1984, le Front de libération national kanak socialiste (FLNKS) lance les premières provocations et met en place un prétendu « Gouvernement provisoire ».

    Pendant quatre ans, les embuscades, émeutes, fusillades se multiplient sans grande réaction des autorités, incapables de protéger les Caldoches, empêtrées qu’elles sont déjà dans un antiracisme et un anticolonialisme paralysant.

    L’élection présidentielle de 1988 qui approche est couplée à une élection régionale qui doit entériner un nouveau statut pour l’île imaginé par le ministre des DOM-TOM, Bernard Pons.

    Le 22 avril 1988, alors que trente gendarmes mobiles sont en renfort à la gendarmerie de Fayaoué pour sécuriser les élections, le chef de la brigade reçoit à son bureau trois Kanaks, venus à sa rencontre. La discussion est calme. Jusqu’à ce que l’un d’eux sorte un couteau : « Ne bougez pas, vous êtes prisonniers »« J’ai d’abord cru à une blague […] puis on s’est débattu », explique le maréchal des logis Lacroix. La bagarre se poursuit hors du local.

    Un commando d’une trentaine d’indépendantistes envahit alors la gendarmerie et prend possession de l’armurerie. La situation échappe au contrôle des forces de l’ordre. Les tirs fusent. L’attaque fait quatre morts chez les gendarmes (l’adjudant-chef Georges Moulié, les gendarmes Edmond DujardinDaniel Leroy et Jean Zawadzki) dont certains assassinés à coups de « tamioc » (la hache en usage chez les Mélanésiens) selon des familles de gendarmes victimes…. L’information sera ensuite officiellement et publiquement tue.

    Les assaillants raflent fusils d’assauts et mitrailleuses puis partent dans des directions opposées avec 26 otages. Rapidement, l’un des deux groupes d’assaillants se rend. Impossible de retrouver les autres. Finalement des anciens de la tribu de Gossanah révèlent l’existence de la grotte. A l’approche, un groupe du GIGN qui sillonne la jungle essuie des tirs. La végétation est dense. Un premier négociateur est pris en otage et le lendemain, six hommes dont le commandant du GIGN, sont fait prisonniers.

    Le FLNKS, des révolutionnaires téléguidés ?

    Les revendications du FLNKS sont claires : retrait des militaires, annulation des élections régionales, organisation d’un véritable référendum d’autodétermination.

    Mais peu à peu, les preneurs d’otages sont lâchés par le bureau politique du FLNKS qui ne veut pas assumer la mort des quatre gendarmes et qui constate que la situation insurrectionnelle qu’ils espéraient provoquer est un échec.

    On apprendra égalementet le FLNKS l’a officiellement admis, qu’un groupe de dix-sept militants avait passé trois semaines à Tripoli en 1987 pour un stage intensif de formation à la guérilla et « déformation idéologique», dixit les indépendantistes… Et un des stagiaires kanaks figurait au nombre des occupants de la grotte des Anciens, Martin Haïwé, tué au cours de l’assaut. On retrouvera également un exemplaire du Livre vert, saisi dans une case de Gossanah.

    La libération des otages : l’opération Victor

    Le 5 mai 1988 à 6h15, « l’opération Victor » est enclenchée. Il faudra le GIGN, les parachutistes de la gendarmerie et de l’armée de terre ainsi que le commando Hubert, unité des forces spéciales de la marine nationale pour déloger les forcenés et libérer les otages.

    L’ordre d’intervention est donné par le premier ministre (Chirac), après accord du chef des armées (Mitterrand).

    Lors du premier assaut qui dure une heure, deux hommes du 11e Choc (l’adjudant Régis Pedrazza et le 2e classe Jean-Yves Véron) sont tués. Le deuxième assaut a lieu à 12 h 30 : un tir de lance-flammes fait reculer les ravisseurs réfugiés dans la grotte et des hommes du 11e Choc y lancent des chapelets de grenades ; huit hommes du GIGN, conduits par le chef de groupe Michel Lefèvre, prennent pied à l’intérieur de la grotte et y jettent des grenades lacrymogènes. À 18 heures, les derniers Kanaks encore en vie finissent par se rendre. L’assaut a fait 20 morts chez les ravisseurs mais l’opération a permis la libération de tous les gendarmes retenus en otages !

    Le pouvoir assistera lâchement et sans réagir aux « protestations » et campagnes médiatiques des associatifs et représentants des ligues de vertu droits de l’hommiste qui, faisant fi de la barbarie des Kanaks ayant massacré 4 gendarmes, ne tardent pas à dénoncer la violence excessive de l’opération, les violations des droits des Kanaks et même « des exécutions sommaires »… Et pourquoi pas la solution finale ?

    À la suite d’une enquête de commandement, le ministre de la Défense révèlera « qu’aucun élément de l’enquête ne fait apparaître qu’il y a eu des exécutions sommaires ».

    Devant la France entière, Mitterrand jurera ne pas avoir été tenu au courant de l’opération. Il sera réélu Président de la république quelques jours plus tard, dans la joie et l’allégresse.

    Aujourd’hui, d’accords biaisés en référendum répétés, le pouvoir français laisse lentement glisser la Nouvelle Calédonie vers une indépendance dont on se réjouit dans la coulisse mondialiste et anglo-saxonne.

    Honneur à nos soldats !

     

    Pierre Olivier

    Militant nationaliste français et coordonnateur de la rédaction de Jeune Nation

     

    votre commentaire
  • Ils sont même allés jusqu’à salir la victime …

    Décidément, les défenseurs de la diversité heureuse, de « l’immigration-chance-et-richesse-pour-la-France » sont prêts à tout pour faire de la propagande pour leur idéologie.

    Quand les agresseurs sont racisés, certains médias regardent ailleurs alors qu’ils se mobilisent quand, par exception, l’agresseur est blanc !

    Pour exonérer les étrangers ou les migrants agresseurs, ils vont jusqu’à salir leurs victimes !

    Cela a été le cas pour le jeune Philippe massacré à mort à Grande-Synthe !

    C’est Polemia qui nous rapporte ce qui s’est passé dans certains médias dont Le Parisien : une véritable honte pour le journalisme :

    Accusations de pédophilie contre Philippe, tué à
    Grande-Synthe : la fabrique du mensonge médiatique

    C’est un fil Twitter édifiant que nous partageons avec vous. Rédigé par Tom, il montre à quel point les journalistes du Parisien ont voulu faire passer Philippe, sauvagement tué par des barbares à Grande-Synthe, pour un pédophile. Et, vous allez vous en rendre compte, ces menteurs sont des habitués de la manipulation médiatique quand il s’agit de salir les Français autochtones. Voici donc le texte de Tom, suivi d’un ajout de notre part avec un deuxième chapitre concernant le passif chargé d’un des journalistes du Parisien.

    Affaire Philippe Coopman : la fabrique d’un mensonge

    Je vous explique comment certaines rédactions ont diffusé une version mensongère de l’agression de Philippe. Avec des conséquences graves …

    Tout débute avec ce visuel partagé jeudi par Le Parisien sur ses réseaux sociaux. Celui-ci affirme que Philippe a croisé la route de ses agresseurs volontairement dans le cadre d’un site de rencontres prénommé “Coco”.

    Cette version est vite démentie une heure après, avec le témoignage de deux amis de Philippe qui ont eu un dernier contact avec lui avant sa mort.

    Philippe rentrait simplement chez lui. La version du rendez-vous par “Coco” est vite jugée comme n’étant pas crédible.

    Le lendemain, la procureure de la République de Dunkerque s’exprime en indiquant que la version d’une rencontre dans le cadre de « Coco » est celle rapportée par les MIS EN CAUSE. Et pourtant, nous sommes dimanche et Le Parisien n’a toujours pas modifié son article.

    Rajoutant à cela, un homme a fait savoir à la police qu’il pense être celui qui aurait dû tomber dans le guet-apens. Il avait rendez-vous, le soir de l’agression, après des échanges sur le site « Coco ». Philippe n’était donc pas la personne initialement visée.

    Un autre ami proche de Philippe a témoigné hier soir, en démentant une nouvelle fois la version diffusée par certains médias qui fait passer Philippe pour ce qu’il n’était pas.

    Mais depuis jeudi, les voyous du net sont déjà sur le coup et la version faisant passer le jeune Philippe pour un prédateur se diffuse massivement sur les réseaux sociaux.

    Le Parisien a imprimé plus de 9 millions de vues sur son tweet mensonger.

    Que faut-il donc de plus au Parisien et à ses trois journalistes qui ont relayé une version biaisée (Jean-Michel Décugis, Jérémie Pham-Lê et Timothée Boutry) pour modifier leur article et s’excuser auprès de la famille de Philippe ?

    Fil repris du compte Twitter de Tom (twitter.com/tomrfn/)

    Les antécédents des ces journalistes-menteurs

    Ces journalistes n’en sont pas à leur coup d’essai !

    Jérémie Pham-Lê s’était par exemple déjà illustré lors de l’affaire Crépol durant laquelle il avait semble-t-il essayé de tordre la réalité, disculpant ainsi en partie – volontairement ? – les racailles coupables d’avoir tué Thomas au cri de « Sale blanc ! »

    Un même schéma de manipulation médiatique pour un même schéma criminel : un Français autochtone tué par des racailles.

    Mais Jérémie Pham-Lê n’est qu’un amateur comparé à Jean-Michel Décugis !

    Ce dernier est en effet bien connu de nos services et des Bobards d’Or puisqu’il est apparu dans nos radars avec son article faisant du tueur de soldats qui allait s’avérer être Mohamed Merah … un néonazi !

    L’Observatoire du Journalisme compile dans un grand article 3 bobards médiatiques de sa part. Retenons le plus retentissant, en 2019 :

    Au Parisien, en octobre 2019, c’est lui qui dévoile en exclusivité pour le journal l’information selon laquelle Xavier Dupont de Ligonnès aurait été arrêté. Sans conditionnel, il affirme que Dupont de Ligonnès “a été arrêté” qu’il voyageait “grâce à un passeport volé en 2014” et “avait changé d’apparence”. On retrouve bien l’attirance pour les détails, aussi inventés soient-ils, comme lors de l’affaire du polygame en 2010. Il n’hésite même pas à faire des interviews avec d’autres médias pour y raconter en détails l’arrestation. Une fois de plus, une fausse information, autrefois on disait un bobard part d’un journaliste un peu rapide pour sortir un scoop avant ses confrères.

    On voit donc que Jean-Michel Décugis n’en est pas à son premier bobard !

    Et s’il est toujours en poste après autant de mensonges, d’erreurs et de manipulations, c’est bien qu’il est à sa place et que ses supérieurs sont satisfaits de ses faits d’armes !

    Tom et Polémia


    votre commentaire
  • Violence des mineurs : loin de punir, Gabriel Attal offre un quart d’heure de gloire.

    Pour lutter contre les violences des mineurs, on allait voir ce qu’on allait voir. Roulements de tambour, coups de menton et ton martial… Ce lundi, Gabriel Attal devait frapper un grand coup. De fait, on est ébahi, mais pas comme on le pensait.

    Gabriel Attal s’est rendu avec une délégation à Nice pour inaugurer un « internat éducatif pour adolescents », un « internat de rupture » destiné aux élèves en « décrochage » et « primo-délinquants ». Comme l’avait préalablement expliqué Christian Estrosi« vingt primo-délinquants encore en situation de scolarisation » étaient placés, ce lundi, pour le temps des vacances dans cet internat - au sein du magnifique lycée du Parc-Impérial, dans le centre de Nice - en présence des parents. Un placement volontaire, parents et élèves devant obligatoirement donner leur accord.

    Rappelons le contexte de ce déplacement : ces derniers jours ont vu se succéder des drames atroces, perpétrés par des mineurs, avec le point d’orgue du meurtre barbare de Philippe, à Grande-Synthe, véritablement massacré par trois mineurs de 14 à 15 ans. Ce n’est pas de vol de Malabar™ ni de mauvaise note en dictée qu'il s’agit.

    Des caïds mués en stars

    Sauf que la première journée dans les lieux, loin d’être une punition pour Lenny, Haytam, Rayan et les autres, sonne comme une récompense. Que dis-je, un sacre. Dans leur quartier, leur famille, leur voisinage. Le retour à la fin des vacances sera un triomphe romain, ces petits caïds sont devenus des stars.

    Car Gabriel Attal, flanqué d’Éric Dupond-Moretti, de Sabrina Agresti-Roubache et de Christian Estrosi, a décidé de s’asseoir avec eux, gentiment, en rond, et de leur demander d’un ton badin leurs impressions. De « témoigner », c’est le mot qu’il utilise, comme dans une réunion d’évangéliques.

    Plusieurs sont avachis, les autres, à la question de savoir « s’ils sont heureux d’être là », répondent avec insolence par la négative, affirment que cet internat « n’est pas bien » (sic), que c’est leur mère qui les a forcés à y aller. Les ministres rient bêtement comme si c’était follement spirituel. Gabriel Attal ne moufte pas, les tutoie comme pour les conforter dans ce statut d’enfant que dément leur comportement, on croirait un CPE affilié à SUD Éducation. Gabriel Attal se réjouit pour l’un qu’il ait déjà un copain sur place et déplore que l’autre n’écoute pas « sa maman » quand elle lui dit de « ne pas utiliser le téléphone ».

    La dissuasion commence bien

    Le gouvernement peut-il expliquer aux Français ? Si ces adolescents entrent dans cet internat en raison d’un comportement répréhensible, pourquoi leur offrir ce quart d’heure de gloire, faire mine de copiner avec eux, de boire leurs propos maussades et ronchons comme s’ils étaient l’oracle de Delphes, pourquoi rire de leurs réponses irrespectueuses, méprisantes pour les adultes en général et le contribuable en particulier, qui a offert à son corps défendant ce séjour coûteux (60.000 € pour douze jours) pour tenter de les sauver ?

    C’est, en somme, grâce à leurs méfaits que ces jeunes violents, ces « primo-délinquants », comme les a qualifiés Christian Estrosi, ont pu converser avec des ministres et passer à la télé. Les autres, ceux qui ont respecté la règle, n'auront pas le droit à cet honneur.

    En attendant, même si ces chers petits renâclent et boudent, le séjour ne devrait pas être trop traumatisant puisqu’y seront proposés, entre autres, « atelier estime de soi », « sortie en bord de mer » ou encore « découverte d’une exposition sur Tintin ».

    La dissuasion et le « sursaut d'autorité » commencent bien.

    Gabrielle Cluzel

    Source : http://bvoltaire.fr


    votre commentaire
  • Il y a 49 ans les Khmers rouges prenaient Phnom Penh sous les applaudissements de la gauche française

    Il y a 49 ans les Khmers rouges prenaient Phnom Penh sous les applaudissements de la gauche et allaient massacrer près de la moitié de sa population…

    C’est le 17 avril 1975 que la capitale du Cambodge tomba aux mains des maquisards du Front uni national du Kampuchéa (FUNK). L’entrée de l’armée révolutionnaire fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.

    Après avoir célébré la chute de Dien Bien Phu et l’abandon de l’Algérie aux terroristes du FLN, les intellectuels et journalistes français vont une fois de plus se distinguer dans l’innommable.


    Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar – organisation socialo-marxiste – dominée par les Khmers rouges.

    Reconnus et soutenus par l’Internationale socialiste, les « maîtres » du « Kampuchéa démocratique » vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire. Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).

    Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés. Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42 % de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.

    C’est ainsi que cet ancien protectorat français (depuis 1863) va sombrer dans l’horreur…

    La France du Second Empire y avait établit sa protection sur le Royaume, jusque-là vassal du Siam (Thaïlande). Le Cambodge fut intégré en 1887 à l’Indochine française lors de la création de cette dernière. En novembre 1949, le système de protectorat laissa la place à un statut d’État associé de l’Union française, toujours au sein de la Fédération indochinoise. En 1953, pendant la guerre d’Indochine, le roi Norodom Sihanouk proclama l’indépendance du pays, que les accords de Genève réaffirmèrent l’année suivante tout en conservant son amitié à la France.

    Source : http://www.contre-info.com

    Il y a 45 ans les Khmers rouges prenaient Phnom Penh

    La chute de Phnom Penh - Le récit d'André Pasquier, délégué du CICR


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique